Catalogue Sanctis : tout le monde peut y dénicher LA médaille qu’il lui faut !

On n’y pense pas toujours, mais comme aucune règle n’encadre les médailles de baptême ou de naissance, pourquoi ne pas honorer le nouveau-né ou le fraîchement baptisé que l’on fête avec une médaille à l’effigie d’un saint portant le même prénom que lui ? Quoi d’à la fois plus proche de lui (c’est son prénom) et de plus spirituel qu’une telle médaille, gravée, sur sa face intérieure, de son prénom et de sa date de naissance ou de baptême (ou les deux) ? Certes mais où  trouver de telles médailles !  Réponse : chez Sanctis ! Des centaines de médailles de saintes et de saints y sont proposées (on couvre tout l’alphabet !). Et, sur son site, on trouve, pour chacun d’entre eux, un petit commentaire éclairant  la symbolique du motif moulé à son effigie, et un bref rappel de qui est le saint ou la sainte en question.

 

Le médailleur Sanctis : un siècle d’expérience et de savoir-faire !

Il faut le savoir, Sanctis est un atelier de médailleurs et de bijoutiers qui, riches d’un bon siècle d’expérience (la maison est née en 1920), pratiquent leur métier suivant un savoir-faire précis et savant transmis par l’observation, la précision des gestes et le maniement délicat d’outils spécifiques. Cela fait des décennies que cette maison imagine, conçoit et crée des médailles de baptême et de naissance dans ses ateliers en France, en offrant les gravures au dos de la médaille.

 

Le médailleur Sanctis relaie le travail des maisons Augis et Arthus Bertrand

Sanctis relaie aussi le travail de deux autres médailleurs et bijoutiers travaillant les bijoux à grande valeur symbolique. Elle relaie celui de la maison Augis (médailles laïques et religieuses) qui, fondée en 1830, est devenue célèbre grâce, notamment, à sa médaille d’Amour. Elle relaie celui de la maison Arthus Bertrand, initialement orfèvre et médailleur de l’Empire (1803), dont le savoir-faire historique s’inspire, aujourd’hui, aussi bien de chefs d’œuvres classiques que de formes contemporaines…

 

Le doux éventail des médailles de la Vierge miraculeuse Arthus Bertrand

Les médailles à l’effigie de la Vierge ont la préférence des baptêmes religieux. Sont généralement retenues les vierges priantes (jeunes et de profil), les vierges au voile et les tendres vierges à l’enfant…

Mais il ne faut pas oublier la fort réputée médaille de la vierge miraculeuse  qui a pris corps avec l’apparition de la Vierge Marie, rue du Bac, à Paris (1830). Une médaille dont il est dit que quiconque la portera « avec confiance, recevra de grandes grâces » et qu’Arthus Bertrand a décliné sous diverses formes avec délicatesse…

 

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